J’ai aimé le livre “Guadalquivir” de Stéphane Servant, car il y a certains retours en arrière qui sont nécessaires pour la compréhension de l’histoire, comme pour expliquer d’où viennent Kenza et Béchir, et pourquoi Chacal a tiré sur le type etc… Le narrateur utilise un langage adolescent et familier, ce qui permet aux lecteurs adolescents de mieux comprendre et de plus apprécier l’histoire. Quand elle n’est constituée que de mots “intellectuels”, on (adolescent) n’a pas trop envie de la continuer jusqu’au bout.
Ce roman est du genre policier et aventures car il est question de police à un moment de l’histoire (quand il y a le meurtre, puis à la gare etc…) et il y a de l’aventure quand Frédéric s’en va avec sa grand-mère, qui elle part retrouver les traces de Fédérico et son grand-père, dans le Guadalquivir.J’aime ce genre d’histoire et ce roman tout particulièrement car il y a beaucoup d’actions.
J’éprouve de la sympathie pour Frédéric car il passe une phase difficile dûe à l’adolescence, et ce n’est pas toujours facile pour lui. Choisir entre la meute ou sa famille …J’éprouve de l’antipathie pour Kenza car elle ment tout le temps, à la fin on ne sait plus s’il faut la croire ou pas, et je trouve son personnage ennuyeux car il n’y a rien d’autre que le vol ou les disputes dans sa vie.J’éprouve de la sympathie pour la grand-mère de Croco car elle me fait de la peine avec sa maladie et parce qu’elle est rigolote.Je n’éprouve rien pour Béchir parce que je n’ai pas réussi à cerner son personnage.
Je ne m’identifie à aucun personnage car aucun ne me ressemble, et je n’ai jamais vécu de telles actions. Entre autres, j’ai beaucoup aimé ce livre pour ce qu’il est.
J.A., Comité de Lecture Junior, 3ème 5.
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