Tout doit disparaître:
« Tout doit disparaître » est un long récit écrit par Mikaël Ollivier. Il s’agit d'un roman du XXIe siècle, c’est un récit vrai, sérieux. Tout ce qui est dit est vrai. Le texte se présente comme une sorte de journal intime amélioré écrit par Hugo.
« Tout doit disparaître » est sans aucun doute mon coup de cœur. Etant donné que c’est le dernier livre que j’ai lu, mon premier coup de cœur s’était arrêté sur « Paris-Bagdad ». Lui comme « Tout doit disparaître » m’ont plu, car ils racontent en quelque sorte la misère et la guerre. « A vos risques et périls » m’a plu aussi mais quand je lisais, je n’avais pas l’impression d’en être imprégnée, tout comme « L'Ile aux peintres ». Celui-là était mieux, les relations qu’entretient Clément avec son père nous expliquent le mal qu’ils ont à parler mais à la fin, l’atmosphère est plus détendue. J’en arrive au dernier, « Le complexe de l’ornithorynque ». Je ne dirai pas que ne l’ai pas aimé car d’une certaine façon, ils m’ont tous plu, mais celui-là m’a déplu pour certaines personnes qui y écrivent. Seulement « Tout doit disparaître » reste MON coup de cœur.
Ce qui m’a tout de suite plu dans ce livre, c’est qu’Hugo n’est pas ébahi par le paysage, sachant qu’il y serait pour quatre ans. Ensuite, c’est la façon dont il présente le mode de vie des Mahorais. Ce que j'ai préféré, c’est quand il revient en France, quand il compte les choses qui influent sur notre comportement, quand sa petite sœur devient une diva et que ses parents ne s’occupent plus de lui. Il a seize ans quand il est frappé par le coup de foudre pour Charly et continue à détester les influences parce qu’il dit ce qui est vrai; il parle déjà comme un adulte.
Océane. B
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